À l’arrivée du printemps, des milliers de personnes sont touchées par la fatigue printanière. Pourtant, les symptômes qui lui sont associés peuvent être liés à bien d’autres facteurs, ce qui explique pourquoi ils passent souvent inaperçus. Savoir pourquoi notre organisme souffre de fatigue printanière est le meilleur moyen de prévenir ses effets et de pouvoir y remédier.
La fatigue printanière, aussi connu comme l’asthénie printanière, se manifeste généralement par une baisse de moral, un manque d’énergie ou une certaine apathie. Elle peut également se traduire par des malaises, une certaine nervosité ou des insomnies. Ce phénomène intervient dans notre organisme en conséquence des changements de saisons et d’horaires.
Qu’est-ce que l’asthénie printanière ?
L’asthénie printanière est caractérisée par un état de fatigue et d’apathie, associé à un manque d’énergie que l’on attribue à l’arrivée du printemps. Les symptômes peuvent être modérés ou très intenses.
La question de savoir si l’asthénie printanière doit être considérée comme un trouble pathologique fait débat. Quoi qu’il en soit, le fait est que dès l’arrivée du printemps, plus de la moitié de la population présente certains des symptômes associés à l’asthénie printanière. En voici quelques-uns :
- Maux de tête
- Anxiété
- Manque d’énergie
- Fatigue et somnolence diurne
- Difficulté à s’endormir
- Irritabilité
- Diminution de l’appétit
- Baisse de la libido
- Manque de concentration
- Manque général de motivation
Les causes de l’asthénie printanière
Les causes de l’asthénie printanière sont très variées, cependant, un certain nombre de facteurs clés sont liés aux changements environnementaux, tels que :
- Changement de saison et de temps. Augmentation de la pression atmosphérique et des températures.
- Allongement de la durée du jour.
- Les montres avancent d’une heure et l’horaire change.
- Changements dans les habitudes quotidiennes (modification des rythmes de sommeil, plus de temps libre, etc.)
En conséquence de tout cela, le corps subit une série de changements qui altèrent la régulation des rythmes circadiens. Ces circonstances affectent l’organisme de telle sorte que la sécrétion de certaines hormones telles que les endorphines, le cortisol, la mélatonine, etc. est modifiée. Par conséquent, notre corps doit s’adapter aux nouvelles conditions environnementales, qui sont plus exigeantes en termes de consommation énergétique au quotidien.
Dans tous les cas, notons que l’asthénie printanière disparaît d’elle-même au bout d’une ou deux semaines, le temps que notre organisme s’habitue au changement des nouvelles conditions environnementales.
Traitement de l’asthénie printanière
L’asthénie printanière n’étant pas officiellement considérée comme une pathologie, il n’existe pas de traitement spécifique pour la faire disparaître. Néanmoins, il est possible de la prévenir et de minimiser ses symptômes. Nous pouvons ainsi accélérer le processus d’adaptation de notre corps à ces nouvelles conditions environnementales.
Voici donc quelques-unes des précautions à prendre pour aider l’organisme à atténuer les effets du changement de saison et à prévenir l’apparition de l’asthénie printanière :
- Anticiper et se préparer au changement d’heure : Sachant que le changement d’heure est inévitable, il est fortement conseillé de procéder à des aménagements progressifs dans notre quotidien pour nous y adapter avant qu’il ne se produise.
- Pratiquer une activité physique modérée : La pratique d’une activité sportive est le meilleur moyen de stimuler les niveaux d’énergie de notre corps. Si nous nous y adonnons de façon quotidienne et modérée, nous serons en bien meilleure santé pendant ce changement de saison.
- Hydratez-vous plus que vous ne le faites habituellement : Une bonne consommation de liquides au quotidien est toujours très importante. Cependant, à cette période de l’année, elle devient vitale. Avec l’arrivée du printemps, les températures augmentent et le corps a, par conséquent, davantage besoin de liquides.
- Maintenir un bon rythme de sommeil : un des effets secondaires de l’asthénie printanière concerne la sécrétion de mélatonine. Cette hormone joue un rôle essentiel dans la régulation du sommeil, or toute variation de celle-ci peut entraîner des troubles du sommeil, au point de rendre votre sommeil nettement moins réparateur que ce qu’il devrait être. Pour éviter cela, il est recommandé de dîner au moins une heure avant le coucher, d’utiliser la chambre à coucher uniquement pour dormir, de la maintenir à une température adaptée et de fermer les volets quand il fait encore jour.
- Intégrer davantage de fruits et de légumes à notre alimentation : Pour finir, sachez qu’il est important de bien nourrir et alimenter notre corps. En cette période de l’année, la consommation d’une grande quantité de fruits et de légumes est plus que jamais nécessaire. En d’autres termes, cela consiste à manger plus d’aliments naturels que d’aliments ultra-transformés.
Certains aliments tels que les lentilles, le quinoa et les fruits secs contribuent à maintenir un niveau d’énergie optimal. D’autre part, introduire des aliments riches en silicium dans votre routine ou compléter vos repas avec des compléments alimentaires à base de silicium est un excellent moyen de venir à bout rapidement des symptômes de l’asthénie printanière.
G7 Defender
Les gélules G7 Defender contiennent 17 principes actifs naturels pour renforcer les défenses de l’organisme et stimuler le système immunitaire. Grâce à la prise de ce complément alimentaire, l’organisme retrouve son énergie et sa vitalité de manière naturelle tandis que le processus de vieillissement est ralenti.
Même si nous ne pouvons pas éviter les effets des changements saisonniers sur notre santé, nous pouvons minimiser leur impact négatif. Voilà pourquoi, en cette période de l’année, il est plus important que jamais de privilégier un mode de vie sain. En effet, un apport approprié en vitamines et minéraux et la mise en place de solutions mentionnées ci-dessus constituent une des meilleures façons de combattre ce trouble printanier avant l’apparition de ses symptômes.
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