L’action globale et efficace de silicium organique au niveau des articulations, immunitaire, hépatique ou osseux, donne à penser que toutes les cellules du corps sont renforcées par cette action à un niveau électrique.
Il joue un rôle très important en tant qu’intermédiaire en transportant les électrons et en amplifiant les impulsions entre les différentes molécules. Cela avait déjà été suggéré par les scientifiques Vincent, pionnier de la bioélectronique, et puis Fazekas, Schafer, Chandler et Bornens en basant la présence du silicium dans les mitochondries, les centrales énergétiques des cellules, leur assignant un rôle de premier plan dans le transport énergétique intra et intercellulaires.
Les centrioles assument également un rôle de même nature, agissant comme un quartz régulateur d’impulsions ou signaux de fréquences très stables qui régissent le mouvement du centriole. Sa capacité à échanger les électrons, agissant en tant que transporteur, facilite l’action des systèmes antioxydants qui fournissent ces électrons, bloquant les radicaux libres qui affectent à la fois les mitochondries et protègent ainsi le système immunitaire.
Il faut tenir en compte le fait que plusieurs études scientifiques prouvent que tous les troubles de l’organisme proviennent d’un déséquilibre électrique des cellules du corps : une cellule saine est électriquement et parfaitement équilibrée, tandis qu’une cellule déficiente (à cause de maladie, du vieillissement) présente des pôles déséquilibrés.
Le silicium organique est chargé aux extrémités d’ions positifs et négatifs qui interviennent dans notre organisme afin de rétablir la polarité des cellules déficientes en libérant ou en échangeant le cas échéant, des ions positifs ou négatifs.
Il permettrait en quelque sorte de rééquilibrer l’ensemble du corps, dont l’action contribuerait à donner aux cellules l’énergie nécessaire pour combattre les agressions extérieures. Cela peut expliquer les sensations de chaleur ou de froid ou les picotements électriques que les patients ressentent comme circulant dans leur organisme parfois juste quelques minutes après l’absorption ou l’application de silicium organique et qui permettent d’améliorer l’état général.
Le scientifique Jean Calcagni n’a pas hésité à mettre en évidence « l’importance de ce minéral pour les processus métaboliques et pour la vie cellulaire chez les animaux supérieurs ». La chercheuse Mary A., quant à elle, déjà en 1910, soulignait que « le silicium peut activer considérablement la phagocytose, contribuer à la minéralisation du sérum sanguin et des organes affaiblis, et régénérer les cellules en excitant l’osmose. Son action, quelle soit préventive ou curative, découle naturellement de ses propriétés physico-chimiques, de sa constance et de son rôle osmotique dans la cellule organisée ».
En résumé, l’action du silicium organique de Loïc Le Ribault sur l’organisme s’explique de par sa biodisponibilité et son action sur la synthèse du collagène et de l’élastine ainsi que de par son rôle sur les glycosaminoglycanes. Il se démarque également de par son pouvoir réactif élevé, agit en tant que régulateur du potentiel électrique de la membrane cellulaire et transmetteur de la communication intercellulaire.