Problèmes cardio-vasculaires

« Le silicium  s’est avéré formidable voire miraculeux sur des amis grecs qui avaient les carotides obstruées à 85%. Deux mois après l’usage du silicium de Loïc Le Ribault, l’échographie est formelle : seulement 15% de dépôts pour l’un des sujets. Quant à moi qui avais employé l’année passée un silicium quelconque par souci d’économie (la crise sévissant en Grèce), sans amélioration des symptômes, dès que j’ai recommencé le silicium, j’ai retrouvé la forme de mon âge d’or. Tout autour de moi, j’informe et fais connaître ce produit et déjà un bon nombre de personnes me demandent de leur commander le silicium organique pour leur santé". Liza Ciceli, 16 mai 2014, Facebook. »

« J’avais un syndrome de Raynaud depuis une trentaine d’années et depuis 4 ans, il avait évolué pour s’installer en sclérodermie (avec crampes aux mollets principalement). Ce diagnostic médical m’a incité à rechercher « d’autres méthodes » que toute la pharmacopée habituelle et « lourde » et le principe de « bouche à oreille » a bien marché car j’ai découvert le silicium organique du Le Ribault. Peu à peu j’ai pu reprendre le plaisir de la marche. Lors d’un contrôle à l’hôpital, je pu leur annoncer que j’allais beaucoup mieux et j’ai insisté pour qu’ils notent dans mon dossier que je n’avais pris que du silicium organique ». A.L, St André.

« Un de mes amis a testé le silicium qui lui a fait baisser son taux de cholestérol sans aucune prise de son médicament habituel, et ce en trois mois et sans rien changer à son régime ». Marie-José de B., Cannes.

« Ayant de sérieux ennuis cardio-vasculaires (artérite), j’ai bu deux litres de silicium organique. Je me suis rendu compte en ce qui me concerne que physiquement cela allait beaucoup mieux, ainsi que mon entourage (famille, parents, amis) a pu le constater ». Monsieur A.M., LESTIAC. 

« Je viens vous faire part de ce que j’ai pu constater après l’ingestion d’un litre de silicium organique à raison de trois cuillères à café par jour. J’avais une certaine faiblesse dans les membres (j’ai 65 ans) et depuis que j’ai pris du silicium organique, je sens mes membres inférieurs beaucoup plus sûrs. D’autre part, lorsque je me mets au lit, je ressens une espèce de bouillonnement comme si la circulation se faisait mieux. J’étais également insomniaque et cela a beaucoup amélioré mon sommeil ». Madame M.P., LESTIAC.

GENEVIEVE ROUGEMONT – TURIYA, Auroville  dimanche, 23. décembre 2007 19:13

Mais aussi pour vous remercier infiniment de continuer l’œuvre de LLR. Je vous envoie ci-après des passages écrits par un ami qui en prend depuis quelque temps. Vous comprendrez ma gratitude.

18 septembre 2007

Ça recommence la sarabande des blouses vertes, bleues, blanches…des perfusions et des engins bruyants, stridents. Épouvantable d'entendre fonctionner, puis dysfonctionner les "bips" d'un cœur usé. Mécanique orageuse du respirateur artificiel. Pression, dépression. Tout ce temps à attendre, immobile. La pensée, seule forme d'activité propre. La pensée infinie, intemporelle, quasi éternelle. A ce moment-là, j'ai décidé que mon corps, "  rescapé du bidet "  devait logiquement finir dans une fosse commune pour achever sa boucle. Recyclage des atomes. Poussière d'étoile. Le néant. L'infini ! L'Humanisme réduit au chien de Mozart !

Je dois avoir la vie solidement chevillée au corps. Une autre opération après de longs, très longs mois d'asphyxie nocturne, diurne. Interminable géhenne. Sisyphe.

Ils viennent de me relâcher après opération et convalescence. Voilà, ça recommence la sarabande !

20 septembre 2007

Combien de temps à l'hosto ? Du 10 juillet au 14 septembre.

Mon humour n'est qu'un défi, au pire il est la politesse du désespoir. Il est aussi chez moi une façon de vivre, un mode de relations. Pendant ma convalescence, j'étais devenu la coqueluche de la clinique. Je ne tenais pas en place dans ma chambre à fixer la télé que mon voisin mettait tout le temps. Je préférais descendre à l'accueil fumer quelques maigres bouffées de cigare (histoire de faire enrager les toubibs) et quelques autres patients me rejoignaient toujours. Nous parlions en souriant ou en riant de toutes les cocasseries de nos vies. On préférait se souvenir des moments de rigolades, plus tôt que des tragédies, ruptures, fractures diverses de la vie. Pas question, par exemple, d'évoquer une chose aussi obscène que nos maladies ! Il valait mieux encore parler de cul et de tous les tendres souvenirs que nous laissent les femmes, de la fortune d'avoir des amis, de la beauté de certains sites entrevus, de la chaleur des pierres au soleil, de ces choses éphémères qui font l'éternité de la vie...ces trésors intérieurs que nous emporterons dans la fosse commune. Remerciements aux femmes qui nous ont donné du plaisir, cette plénitude si complète, image d'un paradis tangible et immense, pied de nez à toutes les mesquineries.

16 octobre 2007

Faute de pouvoir écrire je me tiens de longs monologues ou des dialogues. Des pensées ciselées, des musiques en prose jouées dans le désert…des paroles de silence. Le désert de mon enfance Marocaine me revient encore et toujours. Cette pureté, cette immobilité fluide, celle aussi de la mer. Il me revient sans cesse des sensations presque physiques de mon voilier et des vagues. Je respire au souffle de la houle.

03 décembre 2007

Rentré samedi d'un autre séjour à la clinique cardiologique.

J'ai commencé à lire, mais ma vue est si déficiente  qu'au bout d'un quart d'heure tout est brouillé. Sans compter les drogues qui m'assomment… Privé de lecture et de photographie, ne me reste que la musique ou la radio. En ce moment, Chopin me fait beaucoup de bien, comme un baume d'harmonie, d'apaisement, de pardon tendre. Surtout après la télé très sonore et débile que m'imposent mes voisin de chambre (j’allais dire de cellule) de la clinique et des hôpitaux. La seule issue est de fuir, même perfusé. Je traîne une espèce de potence où pendent les poches des liquides qu'on me perfuse. Souvent, les aiguilles intraveineuses de la perfusion se mettent de travers ou s'arrachent me causant des hématomes énormes. Alors, ils perfusent ailleurs, plus haut, plus bas… L'aiguille cherche une veine, elle glisse, roule sous la pointe de l'aiguille, comme si mon corps rusait ! Alors ils passent aux veines des jambes après m'avoir démoli les deux bras. Quand c'est dans la jambe, la perfusion sort encore plus vite du corps quand je marche. Ils veulent m'attacher au lit. Je refuse absolument. Une nuit, ils se sont mis à deux pour me l'imposer par surprise. Tu imagines ce que je les ai engueulés, mais ils "ne faisaient qu'obéir aux ordres du docteur… c'est pour votre bien monsieur...il faut vous laisser soigner etc." Un objet, un simple objet entre les mains !!

Si tu voyais mon pauvre corps couvert d'hématomes larges, certains noirs ou verts ou jaunes ! Du Picasso !

Ma vue est brouillée. Je ne peux pas écrire longtemps : les touches se brouillent. L’écran aussi.

9 décembre 2007

Comme je ne dispose plus de voiture et que je ne suis plus depuis longtemps en état de marcher, pour mes déplacements je suis obligé de demander à un voisin chômeur de me conduire…

Après ces trois jours épuisants pour moi, il m'est arrivé ce qui m'arrive toujours après un séjour à l'hôpital : je dors, je dors énormément, d'un sommeil entrecoupé de cauchemars épouvantables et d'hypoglycémie : sans doute me donnent-ils trop d'insuline, ce qui fait que quand je reviens à un traitement normal à la maison, j'ai des vertiges, des troubles oculaires majeurs : parfois je suis aveugle pendant un bon quart d'heure, ne puis me lever et m'évanouis dans mon lit. Une fois, il y a des mois, je me suis évanoui sous la douche. Le choc à la tête ne m'a pas arrangé ! Plus tard, j'ai eu un mal fou à m'extraire de la baignoire. Depuis, pas question de me doucher seul.

Quant aux infirmières, elles refusent ( " c'est pas notre boulot de nettoyer  un porc…on a autre chose à faire...et puis avec vos perfusions c'est impossible...de toutes façons, vous êtes attaché…" On ne dira jamais assez à quel point on devient objet à l'hôpital, souvent même objet méprisé, infrahumain ! )

Ma vue tourne. 

Pardon j'ai confondu Zinc et Silicium. Je suis souvent dans le coltar.

10 décembre 2007

Rétrospectivement, tout a commencé en Espagne pendant un été caniculaire. Je suffoquais, respirais très mal, grelottais de froid ceint de couvertures au plein soleil d'août. Je grelottais de froid et de fièvre. Je suis allé deux fois à l'hôpital de… où, les deux fois, ils ne m'ont donné que …. de l'aspirine ! Heureusement, mes voisins espagnols ont alerté un médecin privé qu'ils connaissaient bien et qui m'a donné des antibiotiques très puissants. Je ne me suis remis qu'à la fin du mois pour conduire vaille que vaille jusqu'à… De fait, j'ai compris plus tard que mes poumons étaient déjà pleins de liquide et que ce liquide s'était infecté.

Toujours est-il que trois mois plus tard, j'ai manqué trépasser d'un œdème pulmonaire aigu. Je m'étouffais de mes glaires. Le SAMU m'a transporté au centre cardiologique de la  région parisienne. Là, ils ont déterminé que c'était dû au diabète. C'était en Novembre.

Le 13.01. de l’année suivante, j'ai été opéré d’un double pontage à Paris, hôpital de la Pitié/Salpêtrière. Puis convalescence à…. On ne m'a lâché un mois plus tard qu'à la stricte condition de suivre un traitement et SURTOUT un régime alimentaire. Mes douleurs insupportables aux côtes et au dos m'ont empêché de faire, comme à mon habitude, les courses et la cuisine. Mais pour des raisons indépendantes de ma volonté, je ne pouvais pas suivre mon régime correctement. D'où les diverses rechutes jusqu'à ma troisième intervention qui a consisté à m'élargir une artère du cœur avec un tube implanté.

Mes séjours au centre cardiologique (où l'on me traite si mal !) ont toujours lieu parce qu'ils me convoquent et m'envoient impromptu une ambulance. Cette fois-ci, c'est décidé : je les enverrai chier, eux, leur ambulance, leurs infirmières, leurs docteurs etc. Chier ! Chier beaucoup ! Qu'ils en crèvent d'humiliation comme ils m'ont humilié... et sans doute mal soigné, si j'en juge l'état où je me trouve après chaque séjour dans leur prison !!! Pour en finir, voici ce qu'est mon traitement habituel (pas celui de… que je leur déchire régulièrement au nez et qu'ils s'acharnent à me prescrire à nouveau à chaque séjour.

        - Kadegic 75 mg à midi

        - Crestor 10 mg le soir

        - Temesta 2 comp. le matin

        - Zanidip 20 mg le matin

        - Aldactone  25 mg le matin

        - Novonorm 2 mg 2 comp. le matin, le midi et le soir

        - Burinex 5 mg le matin

        - Cokenzen 16 mg/12,5 mg cp : plq 270 le matin

        - Discotrine 15mg le matin

        - Natispray 0,3 en cas d'urgence. si pas efficace en 1/4 h appeler pompiers en urgence

        - Insuline Lantus Optiset 100 U/ml sol inj SC 40 unités matin, midi et soir.

        - Noctran 10 2 comp le soir

        - Stilnox 10 mg cp pellic sec: B/14 2 comp le soir

        - Smecta pdre p susp buv 1 sachet matin, midi et soir

        - Tranxene 10 2 comp le soir

Voilà mon menu quotidien...de quoi tuer un cheval, j'imagine !

12 décembre 2007

Juste pour te dire que j'ai commencé ce matin même le silicium buvable (3 cuillers à soupe).

13 décembre 2007

Juste un mot très bref (les enfants sont à la maison et je ne peux m'approcher de l'ordinateur qu'armé d'un gourdin...et pour un temps limité. Ah les enfants !) Juste pour te dire que j'ai la nette impression que ma vue s'améliore. Ça paraît réellement INCROYABLE !

15 décembre 2007

Je continue ce traitement...et il me fait un bien énorme ! Par exemple, hier, je n'ai rien pris pour dormir. Rien d'autre que le G5 et j'ai dormi comme un plomb jusqu'à maintenant…

18 décembre 2007

Je viens de me réveiller et suis encore "groggy" suite à l'arrachage de dents hier. N'en pouvant plus, dans la nuit j'ai eu l'idée de me faire un bain de bouche avec le G5...Eh bien figure-toi que ça m'a tellement soulagé la douleur que j'ai pu m'endormir jusqu'à maintenant ! Vraiment étonnant ! De même, ma vue s'est tellement améliorée que mes lunettes ne sont plus adaptées. J’attends que tout soit stabilisé pour en changer. L'essentiel dans l'immédiat est l'amélioration spectaculaire due à ce traitement.

20 décembre 2007

Pendant trois jours j'ai fait l'expérience de ne prendre aucun autre médicament que le G5. Histoire de voir. Tout allait bien (ce qui m'a prouvé qu'un traitement homéopathique, c'est-à-dire plus léger, est tout à fait envisageable) mais hier soir, dans la nuit, j'ai ressenti de fortes oppressions respiratoires et je suis descendu me faire des piqûres d'insuline. Je crois que j'ai voulu aller trop vite, mais je considère quand même l'expérience profitable.

21 décembre 2007

Hier, j'ai pris tout le traitement habituel, y compris ces saloperies de somnifères et d'anxiolytiques, ce qui fait que j'ai eu des cauchemars et que maintenant je suis KO. A partir d'aujourd'hui, je prendrai le traitement, mais plus ces saloperies. De toute façon, le G5 me permet un sommeil naturel, facile et réparateur.

Tu me parles du gel. Je dois te dire que j'avais les pieds et les jambes gonflées et bleues, avec des plaies purulentes que le diabète empêchait de cicatriser. Ils m'avaient annoncé la certitude d'une chaise roulante, voire même d'une amputation quasi inéluctable. Je ne te l'ai pas dit car les nouvelles que je te donnais étaient assez inquiétantes comme ça. Tu comprends maintenant pourquoi j'envisageais la fin.

J'ai commencé à cicatriser les plaies avec le liquide G5. Ça a marché très vite. Puis, trois fois par jour, je me suis massé les jambes avec le gel. Au bout de quelques jours, la couleur est redevenue rose. Quelques jours encore et les pieds et les jambes ont dégonflé. Je continue le traitement de massage avec le gel.

v  TÉMOIGNAGES OFFICIELS 2004

Ces documents étaient destinés à être fournis à la Cour qui jugeait Le Ribault à Bordeaux le 05 février 2004. Selon la loi, chaque attestation devait être accompagnée de la photocopie recto-verso d'une pièce d'identité de l'auteur (certifiée conforme), ainsi que de la mention manuscrite «Je suis informé que toute fausse déclaration de ma part peut entraîner des sanctions pénales. Fait à … le … pour valoir ce que de droit.

Lucette M., 53160 Ize: «Mon mari était atteint depuis 5 années d'un eczéma aux jambes, aux mains et aux bras; après 3 semaines d'application de G5 gel, l'eczéma a complètement disparu. Il avait rencontré auparavant tous les spécialistes et dermatologues de la région de Laval à Angers. La pommade à la cortisone (souvent proposée) permettait une légère amélioration, mais dès que les applications cessaient, les surfaces d'eczéma augmentaient et l'inflammation redoublait de virulence. (...)

Le G5 (...) a été pour mon mari la délivrance, après des jours et des jours de démangeaisons où il se levait pour prendre des douches afin de réduire momentanément l'inflammation. (...)

Pourquoi s'attaque-t-on à cet inventeur, chercheur, qui a été pour moi le seul capable de stopper la maladie que mon mari avait contractée (de 1997 à 2002)?

D'autre part, ma mère, Madame Andrée S., demeurant …, âgée de 81 ans, hospitalisée au C.H.R. de Laval pour une méningite à pneumocoque, a contracté une septicémie compliquée d'une endocardite en mars 2003. (Elle a été) transférée de Laval au C.H.U. d'Angers, puis dialysée suite à l'arrêt du fonctionnement de ses reins (dû aux antibiotiques). Bref, au seuil de la mort. Le 08 mai 2003, à Angers, elle commence la cure intensive de G5. Sa santé s'est rapidement améliorée. Elle est sortie de l'hôpital le 30 juin 2003.

Aujourd'hui, ce n'est plus qu'un mauvais souvenir, et les médecins ne parlent plus d'intervention cardiaque (ils ne savent pas qu'elle a pris du G5, ils pensent qu'elle est «miraculée»). Elle est de nouveau chez elle, et en bonne santé.»

v  TÉMOIGNAGES RECUEILLIS PAR LOÏC LE RIBAULT – 2004

 

56. - Mme et M. G., BADEFOLS : "nous utilisons du silicium organique et apprécions tous les bienfaits sur la circulation sanguine et la régulation du sommeil ainsi que sur la fatigue, et nous aimerions pouvoir continuer à en prendre.